Maxime Haché conduit fièrement sa Tesla Modèle 3 depuis aout. Chaque jour de la semaine, il part de la maison à Lamèque pour se rendre à son travail à Caraquet, un trajet d’une quarantaine de kilomètres.
Vu de l’extérieur, ce véhicule a l’air de n’importe quel autre. Mais c’est tout sauf une auto «ordinaire», dans un monde où la prochaine génération délaissera les modèles à essence pour la technologie poussée de l’énergie électrique.
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